Poésie - nouvelles sur Over-blog
06/11/2014 22:46 par clem28

Chers lecteurs, chères lectrices,
Oui ! Vous m’avez reconnu. Je suis l’oiseau. Ces pattes d’oiseau sur cette page, sont la marque de mon identité. Je ne peux que dessiner les mots pour vous lecteurs et lectrices. Et vous, qui êtes vous ? J’aimerais vous accompagner comme j’ai accompagné, Julie ce matin. Vous ne connaissez pas Julie ? Je l’ai abordée dès qu’elle sortait de son appartement. Elle paraissait triste. Et je me suis dit qu’il ne fallait pas qu’elle soit triste. Le ciel était bleu et la lumière blanche. Alors, Julie devait recevoir un message qui la ferait sourire et qui la transporterait dans la joie toute la journée. Mais Julie ne m’a pas vu. Pourtant, je l’ai frôlée de mes ailes à plusieurs reprises. Je me suis envolé haut dans le ciel. J’ai attrapé dans mon bec les lueurs de l’espoir. Je voulais les déposer dans ses mains. Alors je l’ai frôlée une nouvelle fois après un vol plané tout près d’elle dans la rue. Elle ne m’a pas vu, elle ne m’a pas entendu, elle n’a pas senti ma force tout près d’elle. Elle a continué sa marche dans la rue jusqu’au tramway, les yeux perdus dans un monde triste. Et elle marchait les mains enfoncées dans les poches de son manteau. Elle ne m’a pas vu à la station du Tramway. Elle ne voyait rien, je crois. Elle était plongée dans son silence, dans sa tristesse. Alors, je me suis dit que j’allais accompagner Julie jusqu’à son travail. Je me suis promené ainsi dans le tramway. J’ai chanté. Mais les gens dans le tramway ne m’ont pas entendu. Ils ne m’ont pas vu , perché sur les espaces prévus pour les bagages.. Il faut dire que je me suis un peu caché. Il y avait beaucoup de personnes entassées dans le wagon du tramway. Je suis descendu en même temps que Julie et je l’ai vue emprunter l’escalator et là je me suis dit qu’elle pourrait me voir si je la devançais. C’est ce que j’ai fait. Elle m’a bien vu mais elle n’a pas souri et elle n’a pas sorti ses mains des poches de son manteau noir. Elle a marché sur le parvis et là non plus, elle n’a pas fait attention à moi. Elle ne me voyait plus, perdue dans sa tristesse infinie. Elle a franchi les portes d’une immense tour. Elle n’est pas ressortie. Je me suis dit qu’elle devait travailler quelque part dans cette tour réservée aux bureaux des grandes entreprises. Je reviendrai ce soir pour l’accompagner jusqu’à son appartement. J’ai sautillé un peu sur le parvis parmi mes amis les pigeons. Et, j’ai aperçu et entendu un groupe d’enfants. Les enfants. riaient. Ils criaient de joie. Il couraient vers moi. Ils voulaient m’attraper et attraper les amis les pigeons. Et je me suis envolé très haut dans le ciel. Je me suis retourné après avoir dépassé les nuages blancs et me suis élancé vers ce groupe d’enfants. Il me cherchait du regard. A mon approche, ils ont tendu les mains et j’ai déposé dans leurs mains les lueurs de l’espoir. Ils ont chanté tellement fort ! Écoutez le chant. L’univers s’en est imprégné. Écoutez ! Ce chant est beau. Il émane du cœur des enfants. Je le chante moi aussi à l’heure où je vous écris et je vois le soleil briller même dans cette nuit. Il fera beau demain.
Je vous souhaite une bonne soirée
A Contre-Courant
15/09/2014 21:51 par clem28
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A Contre-Courant
15/09/2014 21:51 par clem28
Un Directeur de CROUS en Province,
Mme Séverin,
C'est avec un grand plaisir que j'ai reçu votre dernier ouvrage et je vous remercie de me l'avoir adressé.
J'ai lu rapidement quelques unes de ces lettres.Vos échanges nourris sur la vie et la maladie me touchent et sont sources de réflexion.
J'en apprécie la sincérité et la profondeur
Veuillez également transmettre tous mes remerciements à B. Legendre dont je n'ai pas les coordonnées.
J'espère sincèrement que nos chemins se croiseront à nouveau. Je vous souhaite une très belle rentrée
J.............
Une parente de Béatrice,
Voici un retour de ma cousine Chantal qui a lu notre livre:
Je trouve cet échange de correspondances entre vous 2 très chaleureux et "profonds"
Je me suis davantage rendu compte de ce passage difficile de ta vie, que tu as vécu. Heureusement que tu as été combative...
A contre-CourantC
09/09/2014 20:42 par clem28
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A contre-CourantC
09/09/2014 20:42 par clem28
Un directeur de Crous
Merci de l'envoi de votre livre que je viens de terminer : touchant, émouvant et parfois dur, je l'ai lu avec intérêt. Il est écrit de manière simple et concise, sans pathos, ni verbiage, ni surtout d'auto-apitoiement ; c'est sans doute pour cela que je l'ai apprécié !
Je vous remercie, Monsieur le Directeur,
C.S.
A contre-courant
08/08/2014 17:19 par clem28
À CONTRE-COURANT
Hommage a Clémentine Séverin pour son nouveau livre À CONTRE-COURANT
Dans la vie il ne faut jamais sous-estimer un ennemi, que serait-ce si on a trois ennemis
Ensemble.. Maladie , Vie et Mort Il faut prendre les devants , avoir toujours le pressentiment qu’une fois sorti de l’entretien avec les méfaits de l’inconnu , la vie ne sera plus
jamais pareille Ne baissons pas les bras.
Soyons toujours un exemple de courage, de combativité car la rumeur s’éteindra comme elle s’est allumée.
Les erreurs ou les fautes professionnelles sont toujours masquées par des discours et des comportements contradictoires et paradoxaux. Notre devoir ne pas aller à contrecourant mais combattre la vie si courte mais si belle
Enfin merci chère poète pour ton œuvre si réelle et très réussie
A Contre-Courant
07/08/2014 15:02 par clem28
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À contre-courant
Vanessa Germain, assistante sociale en faveur des personnels du CROUS et Béatrice Legendre, sa stagiaire, s'engagent dans une correspondance assidue pour expérimenter une supervision en travail social. Très vite, l'amitié prend le pas sur la formalité, d'autant que la vie ne va guère épargner les nouvelles amies. Toutes les deux vont être atteintes d'une grave maladie. La correspondance va devenir un moyen pour surmonter l'angoisse inhérente à la maladie et pour les maintenir mutuellement dans la vie active. Cette correspondance se veut aussi être un message d'espoir, de vie.
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202 pages - ISBN : 9782342026276 - Romans - Edition brochée |
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Format papier : |
20,95 € 19,90 € (-5%) |
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Format PDF :
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10,48 € |
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http://www.monpetitediteur.com/librairie/livre.php?isbn=9782342026276
En complément de la 4ème couverture
1) Beatrice Legendre
Le livre est fondé sur deux histoires réelles.
Pour ma part, je rajouterai que ma correspondance d’alors, a été utilisée pour l’écriture de ce roman. Mais toutes les lettres traduisent le combat contre une maladie. En plus des divers thèmes, abordés, il s’agit aussi de mon combat contre la maladie et de la violence sous-jacente d’une équipe médicale qui veut cacher une erreur de dosage de ma chimiothérapie. Comment va réagir mon entourage amical et familial, aux conséquences graves de ce surdosage ? Comment va se terminer cette histoire ?
Je dirai notamment que l’espoir est entretenu par notre métier d’assistante sociale qui se veut être une ouverture sur le monde professionnel mais aussi sur la vie. L’aide apportée aux autres permet cette ouverture aux autres, mais aussi d’entretenir en soi l’espoir.
L’espoir est notamment entretenu par les études d’assistantes sociales. Les études sont un élément essentiel dans la mesure où elles vont me permettre de garder cet espoir qui sera fondé sur une réalité tangible et qui me conduira vers la réussite du diplôme.
2)Clémentine Séverin
J’avais promis à Béatrice de réaliser un roman de nos lettres écrites durant la période où l’une et l’autre, étions malades et en traitement contre cette terrible maladie qu’est le cancer.
Il m’était difficile de reprendre nos lettres de l’époque dans la mesure où il n’y avait pas assez de distance par rapport à ce vécu et il me semblait que j’allais passer à côté de l’essentiel.
L’essentiel, à mon avis repose en effet, sur la maladie mais la maladie n’est ni le fondement et ni le fil conducteur de ce roman.
J’ai pu reprendre cette correspondance, et en bâtir ce roman, après ma rencontre presque physique avec une présence divine dans une église.
Ainsi,ai-je pu comprendre ce passé et le sens de la relation avec Béatrice qui est certainement l’essence de notre rencontre, de cette profonde amitié et l'essence même du roman.
A contre-Courant
18/05/2014 14:05 par clem28
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A contre-Courant
18/05/2014 14:05 par clem28
L' avis d'une enseignante qui a lu le manuscrit.
Bonjour madame,
Longue et palpitante soirée hier, en compagnie de vos héroïnes! grand merci de votre confiance. Le texte est bouleversant; sa sobriété donne du relief aux univers de l'hôpital et des services sociaux, ainsi qu'à la relation amicale des deux femmes. j'aime beaucoup cette écriture dépouillée d'artifice, et la sensibilité qui affleure au long de cette relation épistolaire;
Clémentine Severin et les livres chez MPE
12/10/2013 10:00 par clem28
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La Photo sur le bureau
et autres nouvelles
"La photo sur le bureau"
Sophie Brissac a dix-huit ans et décide de quitter le foyer familial. Son père emploie un détective privé pour la chercher. C'est ainsi qu'il rencontre Alain Leprince, assistant social dans une université de Paris. Alain Leprince aura-t-il le temps de comprendre ce qui le relie à la famille Brissac? Sophie Brissac, nous éclairera-t-elle?
"Conformément à ma demande"
Une étudiante inscrite en école d'ingénieurs doit vivre en l'hôtel en attendant d'obtenir un logement. Elle envoie des courriers au Directeur d'une résidence universitaire.
"Au secours, aide sociale"
Une étudiante demande une aide financière auprès du service social du Crous. Sa demande est-elle fondée pour que l'étudiante insiste autant?
"Ils danseront, comme autrefois"
Domingo est cadre dans une grande société et Mirna est assistante sociale dans une université de Paris. Ils ne se connaissent pas. Pourtant, tous les deux vont réagir à un message intérieur ou extérieur et ils vont partir pour la Colombie. Pourquoi? Qui les attend? Qui sont-ils en réalité?
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114 pages - ISBN : 9782748398700 - Nouvelles - Edition brochée |
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Ne pouvant plus surmonter les tendances suicidaires répétitives, la narratrice consulte un psychiatre psychothérapeute, le docteur V., sur recommandation du docteur B., son médecin traitant. Elle est en proie à un étrange sentiment vis-à-vis de madame F.C., psychologue psychanalyste avec laquelle elle avait suivi une psychothérapie psychanalytique douze [suite]
"Justin, le petit malin" Justin a à peine seize ans. Il est sélectionné au Cameroun pour intégrer une équipe de football en Europe. Son périple s’achève très rapidement en Allemagne où son directeur d’équipe disparaît, le laissant seul et sans papiers. Il prend alors le train pour se rendre en France. Il y rejoint son demi-frère qu’il ne connaît pas,[suite]
Le docteur Pierre Bertrand, médecin psychiatre psychothérapeute, décide d’envoyer des mails à son ami et confrère, le docteur Brice Martin, médecin généraliste. Une courte correspondance entre eux ne laisse aucun doute sur leurs intentions et sur leurs actes passés concernant leur patiente, Camille Arnaud. Comment va réagir Camille Arnaud? Sera-t-elle [suite]
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Clémentine Séverin - Assistante sociale
25/05/2013 14:24 par clem28
LITTÉRATURE - ROMANS - NOUVELLES - TÉMOIGNAGES - EUROPE - FRANCE
La convocation -L'Harmattan -
L
Vanessa Germain, assistante sociale, ne veut pas reconnaître qu'elle se sent angoissée et même menacée depuis des mois. Elle n'ose pas se poser de questions sur ce sentiment insécurisant. Dès la rentrée de septembre 2003, elle ne peut plus nier l'évidence, elle est face à un danger. Elle reçoit une lettre de l'Inspecteur d'académie le vendredi 19 septembre. Elle appelle donc l'Inspection académique : l'affaire commence.
Ce récit est fondé sur des faits réels.
ISBN : 978-2-296-07350-0
Janvier 2009 - 246 pages
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RELAIS MORTELS - ROMAN
Relais mortels (ROMAN)
par Clémentine Séverin
Le docteur Pierre Bertrand, médecin psychiatre psychothérapeute, décide d’envoyer des mails à son ami et confrère, le docteur Brice Martin, médecin généraliste. Une courte correspondance entre eux ne laisse aucun doute sur leurs intentions et sur leurs actes passés concernant leur patiente, Camille Arnaud. Comment va réagir Camille Arnaud? Sera-t-elle sauvée en quittant ces deux médecins? Clémentine Séverin, assistante sociale, a déjà écrit plusieurs récits et recueils de nouvelles, fondés sur des faits réels. "Relais mortels" est un roman, mais ne s’inspire-t-il pas d’une sombre réalité?
10 € TTC - 78 pages
EAN n° 9782748371185 - Edition brochée
Pour commander l’ouvrage:
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Clémentine Severin, Ecrivain, Asssitante Sociale
Courbevoie / La Garenne-Colombes, France
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relais mortels
13/05/2013 20:38 par clem28